Tout d’abord,
Se détourne le regard
De cette chair trop vive
Comme soumise au caprice
D’un pinceau fantaisiste
Puis il revient,
S’attarde
S’apprivoise,
Le coeur
Peu à peu se met à l’unisson
Pour se réjouir de l’espièglerie de la pose
De la joie franche des couleurs,
Et l’on se prend à sourire
À cette  Biscornue!